Williamsburg – New York


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Bronx : le pont de Bronx-Whitestone et le pont de Throgs Neck. Toutes sont situées à l’intérieur des limites de la ville de New York, à l’extrémité occidentale de l’île, ce qui produit d’importants détours pour les voyages de Long Island vers la Nouvelle-Angleterre. Divers projets concernant une liaison directe ont été discutés pendant des décennies, mais n’ont pas abouti jusqu’à présent. Il existe aussi onze tunnels sous l’East River utilisés par le métro et le train dans les arrondissements de Brooklyn et de Queens. Le Long Island Railroad est le système de train de banlieue qui dessert l’île ; c’est le plus utilisé des États-Unis. Il fait partie de la Metropolitan Transportation Authority (MTA). Le Long Island Bus dessert les comtés de Nassau et de Suffolk (seulement à l’ouest) ; le Suffolk Transit dessert le comté de Suffolk dans son intégralité, excepté la ville de Huntington, desservie par le Huntington Area Rapid Transit. Des ferries existent entre Long Island et le Connecticut, notamment entre Port Jefferson et Bridgeport, entre Orient Point et New London et entre le lac Montauk et New London.

Au cours de ses premières années, plusieurs organisations gouvernementales deviennent les locataires principaux du World Trade Center, dont l’État de New York. Dans les années 1980, un nombre croissant de sociétés privées – principalement des firmes financières liées à Wall Street – deviennent locataires. Au cours des années 1990, près de 500 entreprises ont des bureaux dans le complexe dont plusieurs sociétés financières telles que Morgan Stanley, Aon Corporation, Salomon Brothers et la Port Authority elle-même. L’alimentation électrique de la tour est fournie par Consolidated Edison (ConEd) à 13 800 volts. L’électricité passe par le World Trade Center Primary Distribution Center (PDC) et est envoyée via le cœur du bâtiment aux postes électriques situés aux étages techniques. Ces postes abaissent la tension de 13 800 volts de l’alimentation principale à des alimentations secondaires de 480/277 volt, et descendent encore à 208/120 volts pour l’éclairage. Le 110e étage du 1 World Trade Center (la tour nord) accueille un équipement de transmission de radio et de télévision. Plus loin dans ce billet, je vous parlerai de la visite en elle-même. La priorité étant au fait de réserver son ticket pour l’Empire State Building afin d’éviter l’attente sur place. Il existe principalement 2 billets pour l’Empire State Building. Un billet simple pour une visite de l’ESB et un billet double entrée (sur la même journée) afin de pouvoir le visiter en journée et y revenir en soirée pour voir Manhattan de nuit. Quelque soit le billet réservé (y compris via le pass), vous bénéficierez d’une entrée coupe-file car vous n’aurez pas à acheter votre ticket sur place et c’est là où il y a une énorme attente. Vous l’aurez compris, je vous recommande vivement de réserver votre billet pour l’Empire State Building. Quel billet réserver pour l’Empire State Building ? Avec ces 3 billets pour l’Empire State Building, une question peut se poser : quel billet choisir pour sa réservation ? Voici mes conseils. Si vous partez à New York pour un premier séjour, je vous recommande sans hésiter le New York City PASS.

Brighton Beach est également connu pour être (ou avoir été) un haut lieu de la Mafia russe. Il a servi de toile de fond à plusieurs films dont Little Odessa et Two lovers de James Gray (deux très bons films). Dans les rues, on croise des citoyens de l’ex-U.R.S.S. 1990, c’est assez irréel ! Welcome to Russia ! Après notre visite de Coney Island, nous avons donc cheminé sur le boardwalk, en longeant la mer, en direction de l’est (au propre comme au figuré). Une fois l’immense terrasse du (très soviétique) restaurant Tatiana dépassée, on remonte vers le nord : ça y est, on est en Russie (ou plutôt en U.R.S.S. Une partie du quartier est parcourue par le métro aérien, ce qui lui donne une ambiance particulière. Pour être sincère, il n’y a pas grand chose à faire ici, si ce n’est se promener un peu et faire quelques achats (cf. Mon but était surtout de manger dans un restaurant russe. Notre dîner au Café Glechik a été un voyage gustatif mais aussi culturel et linguistique (notre serveuse ne parlait que le russe, ici l’anglais est une langue étrangère). → Pour manger russe : le Café Glechik (3159 Coney Island Avenue) a fermé il y a quelques mois pour travaux et n’a toujours pas rouvert. Il semblerait que le restaurant Skovorodka (au 615 Brighton Beach Avenue) soit aussi très bien. Dans Brighton Beach Avenue, on trouve de nombreux commerces comme Kalinka Gifts (au n°24), St. → Pour tout savoir sur l’histoire de Brighton Beach, je vous conseille l’excellent article du Monde.



Un séminaire de gestion des finances publiques


L’interventionnisme étatique dans le libre marché est une chose qui m’a toujours déconcerté.. Un symposium que j’ai suivi mardi dernier m’a rappelé à quel point cette posture gouvernementale était stupide. Force est de constater que les tentatives des autorités d’élire elle-même les gagnants industriels ont déja trop souvent été vouées à la débâcle. Après tout, pourquoi nos dirigeants seraient-ils mieux formées pour opérer ce choix que le marché lui-même ? Les subventions sont, de mon point de vue, une forme de vanité. Les autorités qui décident à quoi ressemblera l’avenir. A votre avis, quelle aurait été la probabilité que nos dirigeants aient découvert Sergei Brin de Google ou Bill Gates de Microsoft des pionniers en ce qui concerne les technologies de l’avenir ? Non, nos élites ne sont vraiment pas les plus aguerries pour percevoir les technologies prochaines. Mais alors, à quoi donc peuvent-elles bien servir ? Doivent-elles demeurer et attendre que le progrès, la technologie, l’innovation, la croissance resurgisse ? Sûrement pas ! Les administrations sont idéales quand il s’agit de constituer de conditions optimales à la production de capital : innovation, la recherche fondamentale et appliquée, entreprenariat mais aussi libre marché. De manière pratique, ces conditions incorporent un enseignement de qualité, un traitement engageant des capitaux à risque et également l’assurance du libre marché. Le gouvernement ont donc un rôle décisif à jouer dans la création de la prospérité. Ce rôle consiste avant toute chose à créer les facteurs environnementaux adéquats pour permettre le challenge et la nouveauté. C’est se duper soi-même que de penser que, par l’octroi de subventions, la classe politique peut susciter de la richesse comme par magie. Voilà la conclusion à laquelle aboutissait ce meeting: progrès et innovation ne sont pas occasionnés par des subventions. Ces detniers apparaissent grâce au libre marché et la libre concurrence. Davantage d’information est disponible sur le site de l’agence de voyage de ce séminaire. Cliquez sur le lien.



Al Saoud


Dans la nuit du 15 au 16 janvier 1902, Abdelaziz ben Abderrahmane Al Saoud, souhaitant restaurer l’ancien État de son aïeul, s’empare de Riyad, alors occupée par la famille rivale Al Rachid, originaire de Haïl. En 1904, il s’empare de l’oasis de Buraydah, capitale de la région du Qasim, au nord du Nejd. ]. Les Ikhwân sont progressivement installés dans environ deux cents colonies agricoles (les hujjar). En 1913, Abdelaziz s’empare de la province de Al-Hassa, dans l’est, dont la majorité de la population est chiite. Son poids politique est reconnu par les Ottomans en mai 1914 lorsque ceux-ci le nomment wali du Nejd. Avec le déclenchement de la Première Guerre mondiale, Abdelaziz se rapproche graduellement des Britanniques. L’État ainsi constitué est consolidé par Abdelaziz Al Saoud pour devenir un pays puissant et surtout acteur de la scène internationale. Cet arrêt des conquêtes le brouille avec ses alliés Ikhwân, qui voudraient poursuivre la conquête pour étendre les frontières à toute la communauté des croyants. L’appui des oulémas, essentiellement par une fatwa de 1927, profite à Abdelaziz : ils décrètent qu’il est interdit de se révolter contre le détenteur du pouvoir.