Cette taxe GAFA qui ralentit l’économie digitale


La France a approuvé assez récemment un impôt sur le revenu de 3% sur les revenus générés par d’énormes sociétés informatisées sur son territoire, un transfert qui est à présent envisagé comme un exercice probablement non fondé d’achat et de vente par le gouvernement américain. Les lois françaises, qui pourraient inévitablement avoir un impact sur les dirigeants américains du secteur de la technologie, comme Alphabet, eBay et Fb, constituent le type de taxes que cette Union occidentale demande depuis longtemps. Enhardis par la position de l’UE, les pays asiatiques et latino-américains ont entamé des discussions sur le chemin qui mène aux géants des techniciens en fiscalité sur les revenus perçus sur leur territoire. Si elles sont intégrées, ces propositions ont la possibilité de transformer d’énormes sommes d’argent d’entreprises de technologie en systèmes économiques communautaires. Mais nous pensons qu’une taxation à une seule dimension correspondant à toutes les entreprises numériques importantes en fonction de leur revenu brut constitue tout simplement un instrument de musique trop émoussé pour gérer les déficits budgétaires présumés des organes de gouvernance locaux. Nous appelons à un débat beaucoup plus important sur la question et à des idées plus novatrices pour assurer une fiscalité acceptable et efficace. La nature des affaires évolue rapidement. Les services électroniques continuent de supplanter de nombreuses marchandises physiques, et les détaillants en ligne et les sites Web Internet changent constamment de nombreux points de vente et entreprises physiques. Ces transformations minimisent les séries de taxes d’une ville ou d’un gouvernement fédéral d’au moins trois façons. Initial, hormis un certain nombre de super-institutions produites par des groupes comme Amazon Online et Tesla, de nombreuses usines, lieux de travail, points de vente et installations ferment leurs portes, érodant les revenus des villes dépendantes de l’immobilier liés aux impôts sur le revenu de résidence et aux coûts de croissance. Deuxièmement, il pourrait y avoir une réduction des impôts sur le revenu perçus sur la production ou une valeur accessoire des marchandises réelles, ce qui diminuerait les coffres de l’État ou du gouvernement fédéral. Ensuite, les frais perçus sur les salaires et les salaires du personnel disparaissent lorsque les travailleurs sont mis au chômage par la montée du système économique électronique. Regardez un journal local qui emploie de nombreux employés de la communauté sur son lieu de travail, ses établissements de production et de syndication. Il devient obsolète avec toute l’introduction d’un grand site Web qui n’a pas d’existence physique réelle dans cette région, dépendra de pigistes et localisera son lieu de travail au sein d’une région agréable comme l’Irlande ou le Luxembourg. Vos spécialistes du marketing locaux sont transférés en masse vers la nouvelle société Internet. Ainsi, la ville et les instances dirigeantes fédérales se débarrassent d’une grande partie de leurs recettes fiscales. Ils doivent maintenant réduire leurs dépenses, financer de nouveaux cours sur les intérêts et découvrir des sources alternatives de revenus.


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